Imaginez-vous : vous avez reçu un diagnostic de maladie et vous commencez à vous projeter dans les étapes suivantes, en appréhendant tout le stress, la confusion et le temps que cela vous prendra ainsi qu’à votre famille.
Mais ensuite, votre médecin généraliste vous oriente vers un spécialiste du New York-Presbyterian David H. Koch Center. Vous prenez rendez-vous, remplissez les documents en ligne et le jour arrive. Vous êtes un peu nerveux et ne savez pas à quoi vous attendre.
Vous arrivez et entrez dans un hall baigné de lumière avec un plafond haut. Quelqu’un vous accueille et vous aide à trouver votre chemin. Pas de files d’attente. Pas de salle d’attente avec des chaises dures et inconfortables. Aucun doute sur l’endroit où vous êtes censé vous rendre.
C’est aussi proche d’un accueil chaleureux qu’un centre hospitalier peut l’être.
Lien vers l’article en anglais : https://healthmatters.nyp.org/a-new-patient-experience/
Imaginez-vous : vous avez reçu un diagnostic de maladie et vous commencez à vous projeter dans les étapes suivantes, en appréhendant tout le stress, la confusion et le temps que cela vous prendra ainsi qu’à votre famille.
Mais ensuite, votre médecin généraliste vous oriente vers un spécialiste du New York-Presbyterian David H. Koch Center. Vous prenez rendez-vous, remplissez les documents en ligne et le jour arrive. Vous êtes un peu nerveux et ne savez pas à quoi vous attendre.
Vous arrivez et entrez dans un hall baigné de lumière avec un plafond haut. Quelqu’un vous accueille et vous aide à trouver votre chemin. Pas de files d’attente. Pas de salle d’attente avec des chaises dures et inconfortables. Aucun doute sur l’endroit où vous êtes censé vous rendre.
C’est aussi proche d’un accueil chaleureux qu’un centre hospitalier peut l’être.
Votre « patiente ambassadrice » référente a vos informations à portée de main. Elle vous remet un bracelet connecté personnalisé, permettant l’accès au bâtiment et alertant votre équipe soignante de votre arrivée. Ensuite, elle vous dirige vers la zone d’accueil à l’étage où se déroulera votre traitement. Un autre membre du personnel vous guide jusqu’à votre chambre privée de préparation et de réveil, où vous serez bientôt accueilli par votre équipe de soins, qui s’occupera de vous tout au long de votre séjour, le tout au même étage, dans le même bâtiment, le même jour.
Avant même le début de la construction du New York-Presbyterian David H. Koch Center – un nouveau centre de soins ambulatoires ultramoderne situé dans l’Upper East Side de Manhattan – chaque décision était basée sur une chose avant tout : le patient.
«Notre objectif en créant le New-York-Presbyterian David H. Koch Center était de développer une nouvelle vision de ce que pourraient être les soins ambulatoires, en nous concentrant d’abord et avant tout sur les besoins des patients et la prestation de soins exceptionnels», explique le Dr Steven J. Corwin. , président et directeur général du New-York-Presbyterian. «Chaque décision concernant la conception et l’exploitation de ce bâtiment a été prise en pensant au patient, de l’enregistrement rapide et facile aux chambres de préparation et de réveil privées, en passant par les zones de traitement lumineuses et les mises à jour du statut en temps réel. C’est vraiment un environnement qui a été conçu pour la guérison, et nous croyons qu’il représente l’avenir des soins ambulatoires. »
Le centre abrite un large éventail de services de soins ambulatoires, y compris la chirurgie ambulatoire, la radiologie interventionnelle, l’imagerie diagnostique et les services de transfusion, ainsi qu’un programme de santé et de bien-être intégratifs qui a ouvert en juin 2018. A partir de 2020, cinq étages ont été transformés en l’hôpital New-York-Presbyterian Alexandra Cohen pour les femmes et les nouveau-nés, offrant les meilleurs soins maternels et néonatals. Il y a aussi un café de qualité et un restaurant, des salons confortables et un parking souterrain offrant un service de voiturier.
Le parcours des patients n’est pas toujours facile, mais il est rendu beaucoup plus confortable, voire agréable grâce au cadre magnifique du centre et aux équipements de haute technologie qui placent plus de pouvoir entre les mains des patients.
«Susan Sontag a écrit il y a de nombreuses années que… « être malade, c’est comme avoir deux passeports», explique le Dr Silvia Formenti, titulaire de la chaire Sandra et Edward Meyer pour la recherche sur le cancer, professeur et président du département de radio-oncologie et radio-oncologue en chef du Centre médical New York Presbyterian/Weill Cornell. «Vous avez un passeport lorsque vous êtes en bonne santé. Vous avez un autre passeport lorsque vous êtes malade. Même si tout le monde veut utiliser le bon passeport, nous avons tous des moments dans notre vie où nous détenons le mauvais passeport. … New York-Presbyterian permet au moins que le voyage soit très agréable. »
- Soins de santé et hospitalité
«Le bâtiment ne ressemble pas nécessairement à un hôpital ou à un établissement de santé», explique Chif Umejei, directeur en charge des technologies de l’information. « Il y a un petit côté hospitalité. »
L’éclairage naturel est présent dans tout le bâtiment; il n’y a pas de zones de traitement en sous-sol ici. «De nombreuses études indiquent que l’éclairage naturel améliore l’expérience de soins ou l’expérience de récupération», note Peter Stoffan, directeur des soins aux patients pour les services préopératoires et postopératoires.
D’autres commodités contribuent à rendre l’expérience unique dans le domaine des soins de santé. «Vous voulez de la bonne nourriture? Vous allez l’avoir », dit Stoffan. «Voulez-vous une bonne expérience avec les infirmiers? Vous allez avoir un très bon ratio infirmière-patient et de nombreuses aides-soignantes et assistants patients, des ambassadeurs qui vous guident vraiment pendant vos soins. Quel que soit le problème, nous aurons des réponses pour vous et vous mettrons à l’aise et en sécurité. »
- Le patient comme partenaire
Chaque aspect du NYP David H. Koch Center a été pensé du point de vue du patient et de sa famille et a contribué à rendre leur expérience aussi peu stressante que possible. « L’attention portée aux détails est ce qui distingue ce bâtiment », déclare Kerri Hensler, directrice des soins aux patients de l’endoscopie, de la salle de réveil et des procédures.
«Ce fut une véritable collaboration entre notre personnel, notre conseil consultatif des patients et des familles et nos cabinets d’architectes et de construction», a déclaré John Simmons, directeur des opérations et de la gestion de projet au NYP David H. Centre de Koch.
Transformer l’expérience du patient, la rendre plus compatissante et efficace, est la raison d’être du NYP David H. Koch Center, et ce depuis sa création, car les patients ont tendance à avoir des choses en commun, peu importe ce pour quoi ils sont traités. Ils sont généralement anxieux, stressés et incertains. Rien de tout cela n’est bon pour la guérison. Le centre est conçu pour atténuer ces contraintes. En effet, «si vous pensez à la situation actuelle des soins, ce n’est pas nécessairement le cas», déclare Dean Caruso, directeur des services d’accueil.
Grâce à l’application New York-Presbyterian, les patients reçoivent des informations personnalisées sur leur visite et des instructions étape par étape pour les mener jusqu’à leur chambre, où leur équipe de soins les accueillera. Les patients peuvent également inscrire leurs proches sur l’application, pour qu’ils reçoivent des mises à jour textuelles en temps réel sur leurs soins, tandis que le Wi-Fi gratuit et une abondance de bornes de recharge les maintiennent connectés.
Et, lorsqu’il est temps de rentrer chez eux, les patients peuvent facilement accéder à leurs instructions de sortie, consulter les résultats des tests et même avoir un rendez-vous de suivi vidéo avec leur médecin depuis leur domicile sur leur appareil mobile.
Ici, l’objectif est de rationaliser les soins. Les patients qui subissent une intervention ont un « domicile » dans l’hôpital – une salle de préparation et de réveil privée où les objets personnels peuvent être laissés dans un casier et leur famille peut attendre et recevoir des mises à jour sur le traitement ainsi que profiter de l’utilisation d’une tablette informatique pour aider à passer le temps.
Même pendant un traitement ou une intervention chirurgicale, le patient n’est pas loin de ses proches, qui peuvent rester et utiliser la chambre plutôt qu’une salle d’attente commune. Le centre a été conçu de manière à ce qu’une équipe multidisciplinaire de médecins de Weill Cornell Medicine, travaillant tous ensemble sous un même toit, puisse fournir des soins coordonnés. Cela permet aux patientes atteintes d’un cancer du sein et aux membres de leur famille ou à leurs amis, par exemple, de voir le chirurgien, l’oncologue médical, le radiooncologue et le chirurgien plasticien sans avoir à se déplacer entre des bâtiments ou à traverser des rues animées de la ville.
« C’est ainsi que nous prodiguons les soins », explique Cookie Frempong, directeur de l’oncologie ambulatoire, « en apportant tous les services directement au patient. »
Dans tout le bâtiment, une technologie de pointe aide les médecins à diagnostiquer et à traiter les patients, et constitue une autre façon pour New-York-Presbyterian d’améliorer l’expérience des patients.
La suite IRM/TEP-scan/angiographie du centre est la première du genre au monde. Combinant toutes les technologies d’imagerie clés utilisées pour les procédures peu invasives, y compris l’IRM/TEP-scan, la fluoroscopie, l’échographie et la tomodensitométrie rotative, la suite permet aux cliniciens de diagnostiquer, planifier et guider avec précision les procédures et de vérifier leur exhaustivité. Si, par exemple, il est déterminé qu’un traitement supplémentaire est nécessaire pour traiter une tumeur, ces soins peuvent être effectués au cours de la même visite. Une conception unique des tables d’opération permet d’utiliser toutes ces technologies sans avoir à déplacer les patients d’une table à l’autre ou d’une pièce à l’autre.
« Du point de vue du patient, ailleurs, il faudrait se rendre dans trois endroits différents pour obtenir le même type d’intervention que l’on peut faire ici dans une seule pièce », explique Jean L. Aime, directeur de la radiologie et de l’imagerie, faisant référence à la suite IRM/TEP-scan/Angiographie au cinquième étage.
Les trois accélérateurs linéaires du centre sont tout aussi remarquables, y compris le premier accélérateur linéaire guidé par IRM de New York pour la radiothérapie de précision des tumeurs. Cette technologie de pointe trouve, cible et suit la position et la forme des tumeurs tandis que le rayonnement est délivré avec précision – une avancée révolutionnaire dans le traitement du cancer.
« Le patient est dans un appareil d’IRM, vous pouvez donc obtenir les images de la tumeur en temps réel », explique le Dr Nicholas Sanfilippo, vice-président du service de radio-oncologie. « Nous pouvons voir s’il y a un mouvement lié à la respiration ou à tout autre mouvement du patient afin que le rayonnement puisse être dirigé de la manière la plus ciblée possible. »
- Prendre soin de la personne dans sa globalité
« Respire ». Cette injonction facile est difficile à faire quand on s’inquiète pour sa santé. Le programme « Integrative Health and Wellbeing » (santé intégrée et bien-être) du New York-Presbyterian, en collaboration avec Weill Cornell Medicine, peut aider les patients. Les services visent à traiter l’ensemble du patient, à réduire l’anxiété et à améliorer l’expérience du patient.
«La santé intégrative est définitivement un facteur de soutien que nous apportons à nos patients», déclare Frempong. « Ce sont des services complémentaires : nous fournissons des massages légers, du Reiki, du yoga et des cours de préparation aux opérations … qui aident à soutenir leur esprit, leur corps et leur âme. »
« Ce bâtiment est une occasion vraiment unique de revisiter l’expérience « d’être malade » dans un contexte différent», explique le Dr Formenti. « C’est vraiment un changement d’équilibre entre la maladie et la santé. La maladie devient un épisode et, bien sûr, tout en travaillant pour la faire disparaître, nous essayons de transformer l’expérience en un simple épisode qui est en quelque sorte un fragment de la personne entière – et de garder l’accent sur la santé. »
